17 février 2010
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16:14
10586 pas, presqu'autant d'instants de bonheur. C'est le score de l'après- midi, gagné sur la grisaille, la pluie, la neige de ces derniers jours.
J'ai cru au soleil sur la foi d'un ciel clair, lumineux et nous sommes partis sur la route de R... dévorant les kilomètres pour retrouver ingénuement les douceurs printanières au bord de la mer.
Dès notre arrivée, nous avons marché, marché et encore marché le long de l'immense plage, emprunté la nouvelle promenade océane et bu goulûment aux parfums puissants qui nous enveloppaient. Quel plaisir,quelle sensualité que ces pas élastiques et légers sur le sable mouillé!
L'oreille attentive au chant des vaguelettes qui s'écrasaient doucement sur le rivage, nous n'avons pas vu venir du fond de l'horizon les traîtres nuages.
En moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, ils ont redonné une teinte uniforme à la plage, à l'eau et au ciel confondus alors en un gris sale et déprimant. Il fallait faire vite pour regagner le havre de la voiture avant que l'averse ne nous trempe complètement.
La silhouette blanche du carrelet a servi d'amer aux naufragés que nous étions désormais au coeur des bourrasques. Nous nous sommes engouffrés dans l'auto au moment où s'écrasaient les premières gouttes.
Sauvés!!!!!
Bilan de l'équipée: une vitalité fouettée, de bons souvenirs et un bon rhume...
(photo: M.A.S)
J'ai cru au soleil sur la foi d'un ciel clair, lumineux et nous sommes partis sur la route de R... dévorant les kilomètres pour retrouver ingénuement les douceurs printanières au bord de la mer.
Dès notre arrivée, nous avons marché, marché et encore marché le long de l'immense plage, emprunté la nouvelle promenade océane et bu goulûment aux parfums puissants qui nous enveloppaient. Quel plaisir,quelle sensualité que ces pas élastiques et légers sur le sable mouillé!
L'oreille attentive au chant des vaguelettes qui s'écrasaient doucement sur le rivage, nous n'avons pas vu venir du fond de l'horizon les traîtres nuages.
En moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, ils ont redonné une teinte uniforme à la plage, à l'eau et au ciel confondus alors en un gris sale et déprimant. Il fallait faire vite pour regagner le havre de la voiture avant que l'averse ne nous trempe complètement.
La silhouette blanche du carrelet a servi d'amer aux naufragés que nous étions désormais au coeur des bourrasques. Nous nous sommes engouffrés dans l'auto au moment où s'écrasaient les premières gouttes.
Sauvés!!!!!
Bilan de l'équipée: une vitalité fouettée, de bons souvenirs et un bon rhume...
(photo: M.A.S)